Cabanes

Ce travail évoque à la fois l’habitat, le nid, la maison-cabane de notre enfance, ainsi qu’un regard poétique sur le vaisseau de l’exil. L’absence de portes et de fenêtres, souligne l’idée que ces cabanes appartiennent à la mémoire de l’enfance. Ce territoire est clos, il est du souvenir. …Et la cabane devient écrin, gardienne silencieuse lorsqu’on y devine à l’intérieur, entre deux interstices, des pièces d’identités d’enfants d’origine chinoise trouvées il y a une vingtaine d’années …